Citations visuelles
Panneaux poétiques et carrousels d’humeur. Pensées à glisser dans la lumière.
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A portée de peau (Citation visuelle )
Dans une petite salle, un concert n’est pas un spectacle. C’est une rencontre où chaque note frôle la peau. Et chaque mot touche notre âme.
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Fleurir dans les cendres (Citation visuelle )
La vie trouve toujours un chemin. Même quand tout semble calciné, figé, fini… Il y a cette force silencieuse, invisible, qui choisit d’éclore là où rien ne devrait pousser. C’est ça, la résilience. C’est cette lumière dans les cendres. Ce courage de fleurir, même blessé(e). Et toi, à quel moment as-tu choisi de t’épanouir malgré tout ?
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L’art de laisser venir (Citation visuelle )
Commencer doucement. Laisser venir. Se rappeler que l’important finit toujours par revenir. Et qu’il ne sert à rien de se brusquer.
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Quand le ciel s’enflamme (Citation visuelle )
Quand le ciel s’enflamme, ce n’est pas une fin. C’est une promesse murmurée à ceux qui savent encore regarder. Un éclat de lumière posé sur la mer, un instant suspendu, une beauté simple qui réconcilie. Juste ça. Et c’est déjà beaucoup.
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Main tendue (Citation visuelle )
Il y a des moments où la vie vacille, où l’on frôle le précipice. C’est dans ces instants que l’on découvre les véritables présences, celles qui tendent la main sans hésitation, sans condition. Ces gestes discrets, parfois anodins, portent en eux une vérité profonde : l’essence même de l’humanité. Qui a déjà été cette main tendue pour vous ? Qui avez-vous déjà rattrapé avant la chute ?
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Daran (Citation visuelle )
La voix qui marque. Il y a des artistes qui ne chantent pas : ils racontent. Avec leurs cicatrices, leurs silences, leurs vibrations brutes. C’est ce que je ressens quand j’écoute Daran. Un mélange de rugosité et de tendresse. Une mémoire en écho. Et vous, c’est qui l’artiste qui vous fait vibrer à ce point ? Photo : personnelle (prise au concert du 6 février 2025 au Café de la Danse à Paris). Citation : Au Cœur de Mes Nuits
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Quand la lumière doute (Citation visuelle )
Il y a des jours où même la lumière doute. Alors on apprend à faire autrement. On ne lutte plus, on respire. On s’ancre. Et sans bruit, on recommence à exister, simplement.
